Viol d’une septuagénaire : Qu’attendent les policiers pour coffrer le suspect, déjà identifié par la victime ?

Une habitante de la rue Grannum à Vacoas, âgée de 73 ans, a connu l’horreur aux mains du fils d’un de ses voisins. Ce dernier, âgé de 41 ans, a sexuellement agressé la septuagénaire à son domicile le jeudi 5 septembre dernier vers 15 h, durant l’absence des fils de la victime, avec qui elle vit.

La septuagénaire a vite dénoncé son agresseur le même jour, vu qu’elle le connaissait. Ensuite, elle a été hospitalisée, vu la gravité de ses blessures. Cependant, les policiers n’auraient pris qu’une brève déclaration de la dame, en lui disant qu’ils se mettront à la recherche du violeur. Ce dernier est un récidiviste qui vient de sortir de prison et serait connu des policiers. Bien que son père habite près de la victime à la rue Grannum, l’agresseur n’habite pas chez lui. Toutefois, il fréquente de temps à autre la maison de son père. Normalement, il vit en SDF et vagabonderait aux alentours.

Selon la bru de la septuagénaire, des habitants de l’endroit auraient vu l’agresseur le lendemain mais les policiers n’ont rien fait pour aller le coffrer. « De plus, les policiers nous ont dit de ne rien toucher de la chambre où le viol a été commis, jusqu’à ce que la victime retourne de l’hôpital. Cependant, la santé de ma belle-mère se détériore davantage et on ne sait quand elle se remettra. Devra-t-on attendre tous ces jours avec ces traces de sang dans notre maison ? Cela nous hante l’esprit depuis ce drame », martèle cette dernière. Et d’ajouter que malgré une identification positive de la victime, la police ne remuerait pas le petit doigt.