Prêts de la SBM Holdings au secteur non-bancaire Des loans d’un montant de Rs 1, 7 milliard « written off »

Rs 1, 7 milliard. Le montant donne froid dans le dos. Cette somme représente des prêts accordés au secteur non-bancaire qui ont été « written off » par la SBM Holdings pour la période 2017-2018. C’est ce qui ressort de son rapport annuel. Une hausse vertigineuse comparée à Rs 114 millions en janvier 2015, soit juste après les dernières élections générales. Quelles sont ces compagnies qui ont vu leurs dettes rayées ? Pourquoi ce chiffre a-t-il aussi grossi au point de dépasser la barre d’un milliard de roupies ? Des questions fusent de toutes parts.

« La SBM Holdings doit s’expliquer sur les raisons qui l’ont poussée à « write off » un montant aussi conséquent. D’autant que la performance économique du groupe laisse à désirer », dit un observateur averti. Le SBM Holdings a d’ailleurs connu pas mal de revers avec le prêt kenyan non-performant. Ce qui alimente encore plus les inquiétudes par rapport à la gestion de ce groupe important du secteur financier mauricien. D’aucuns se demandent si c’est le board de la SBM Holdings qui a pris cette décision ou a-t-elle imposée par un des membres de la direction en particulier.  Paie-t-on des rémunérations de l’ordre de Rs 24 millions au CEO Andrew Bainbridge et Rs 5, 5 millions au chairman Kee Chong Li Kwong Wing pour qu’ils « write off » des dettes aussi conséquentes ?

 Rs 1, 7 milliard. Le montant donne froid dans le dos. Cette somme représente des prêts accordés au secteur non-bancaire qui ont été « written off » par la SBM Holdings pour la période 2017-2018. C’est ce qui ressort de son rapport annuel. Une hausse vertigineuse comparée à Rs 114 millions en janvier 2015, soit juste après les dernières élections générales. Quelles sont ces compagnies qui ont vu leurs dettes rayées ? Pourquoi ce chiffre a-t-il aussi grossi au point de dépasser la barre d’un milliard de roupies ? Des questions fusent de toutes parts.

« La SBM Holdings doit s’expliquer sur les raisons qui l’ont poussée à « write off » un montant aussi conséquent. D’autant que la performance économique du groupe laisse à désirer », dit un observateur averti. Le SBM Holdings a d’ailleurs connu pas mal de revers avec le prêt kenyan non-performant. Ce qui alimente encore plus les inquiétudes par rapport à la gestion de ce groupe important du secteur financier mauricien. D’aucuns se demandent si c’est le board de la SBM Holdings qui a pris cette décision ou a-t-elle imposée par un des membres de la direction en particulier.  Paie-t-on des rémunérations de l’ordre de Rs 24 millions au CEO Andrew Bainbridge et Rs 5, 5 millions au chairman Kee Chong Li Kwong Wing pour qu’ils « write off » des dettes aussi conséquentes ?