Il peut pousser un ouf de soulagement. Aucune charge n’a été retenue contre Nad Sivaramen à l’issue de l’enquête policière initiée contre lui en avril dernier. Et ce, dans le sillage des allégations d’attouchements sexuels formulées contre lui par son ancien compagne Audrey Harelle. “You are kindly informed that the police investigation is completed and that no prosecution has been advised”. C’est ce qu’a écrit un préposé du bureau du Directeur des Poursuites Publiques (DPP) dans une correspondance en date du 5 décembre 2018 et adressée à Nad Sivaramen.
C’est suite aux instructions du ministère de l’Égalité des Genres, dirigé alors par Roubina Jadoo-Jaunboccus, que la Child Development Unit (CDU) avait consigné une déposition contre le Directeur des Publications de LSL dans la soirée du 4 avril 2018. Le dossier avait, par la suite, été référé au CCID. Nad Sivaramen avait d’ailleurs été longuement interrogé par les enquêteurs. Ces derniers ont bouclé leur enquête, en le lavant de tout blâme.
