[COMMUNIQUÉ] La Turbine obtient le soutien de la MCB

 

La première banque commerciale du pays participe à hauteur de Rs 500 000 aux frais de roulement de l’incubateur et accélérateur d’entreprises fondé par le groupe ENL.

Le mardi 29 septembre 2020, Raoul Gufflet, Deputy CEO de la Mauritius Commercial Bank (MCB) et Hector Espitalier-Noël, CEO du groupe ENL, ont signé un accord à travers lequel la banque accordera un parrainage de Rs 500 000 sur un an à la Turbine. Ce soutien servira à financer les programmes phares de l’incubateur et accélérateur d’entreprises, dont :

  • le Test Drive, concours préincubation permettant au startupper de tester la viabilité de son projet,
  • l’incubation, programme permettant à l’entrepreneur d’améliorer sensiblement ses chances de réussir grâce à l’encadrement, à la formation et au coaching proposés, et
  • l’accélération, destinée à l’entrepreneur expérimenté souhaitant faire grandir son entreprise.

« Nous remercions la MCB pour sa confiance en nos programmes. Ce soutien financier est très important pour la Turbine, car il nous permet de renforcer l’accompagnement que nous proposons à la communauté des start-up en leur amenant encore plus de services et de soutien. Nous sommes heureux de collaborer avec la MCB, dont nous partageons la vision, à savoir aider  les PME locales à innover et à prospérer », souligne Diane Maigrot, General Manager de la Turbine.

Le CEO d’ENL abonde dans le même sens : « Au-delà de l’argent – la Turbine ayant une vocation non lucrative –, ce partenariat rehausse la crédibilité de notre incubateur d’entreprises. C’est, à n’en point douter, une étape importante de son développement que la Turbine vient de franchir. Je suis confiant que ce partenariat va durer et qu’il va en attirer d’autres. »

Pour sa part, le Deputy CEO de la MCB puise de son expérience de banquier pour relever les cinq principaux facteurs qui contribuent à la réussite de l’entreprise. En premier lieu, il mentionne l’idée qui est à l’origine même de l’initiative entrepreneuriale. Viennent ensuite la qualité de l’équipe et son agilité face au marché, ainsi que le modèle économique et la capacité de l’entreprise à générer des bénéfices. Si ces trois axes sont suffisamment solides, le financement suivra toujours, dit-il, en précisant toutefois qu’au final, le facteur qui pèse le plus dans l’équation est le timing.