[COMMUNIQUÉ] Harel Mallac : Pertes de Rs 266 millions après impôts

Impacté par la recession economique, Harel Mallac publie des pertes après impots de Rs 266 millions, et reste vigilant pour son quatrieme trimestre.

Une performance réduite résultant de la contraction de ses principaux marchés

La baisse de la demande dans les marchés traditionnels du Groupe (hôtellerie, grande distribution, construction, inter-alia) a impacté Harel Mallac de deux façons. DJune part, le volume des ventes sJest contracté. De l’autre, la compétition accrue sur ces marches a résulté en une forte erosion des marges. Ainsi, et malgré d^mportantes mesures de réduction de coûts prises depuis avril 2020, le groupe publie des pertes avant couts financiers de Rs 93 millions, pour la période de neuf mois se terminant au 30 septembre.

Cluster Manufacturing and Trading

La division Equipements & Systemes a été la plus affectée par le lock-down et la contraction de ses marchés principaux pendant le 3e trimestre. En revanche, dans la division Chimie, le groupe MCFI ameliore sa performance par rapport a 2019, grâce à la restructuration initiée en 2019, avec réintégration de ses compagnies soeurs Chemco et Bychemex.

Cluster Business Services

Les revenus de la division Technologie se sont également améliorés, même si Harel Mallac Technologies fait également face à une competition plus forte sur les appels d5offres importants restants pour la fin de l’année.

Asset Management

Harel Mallac est, entre autres, actionnaire minoritaire des opérateurs des secteurs du tourisme et de la construction qui sont sévèrement affectés par la fermeture des frontières. La part des résultats de ces compagnies associées est négative par Rs 105.8 pour la période, contre Rs 71.3m en 2019.

Le groupe publie ainsi des pertes après impôts de Rs 266 million, pour les neufs mois concernes.

Un quatrième trimestre pas comme les autres en perspective

Le dernier trimestre est,en général, le plus important en chiffre d’affaires pour le groupe. Pour 2020,le manque de visibilité sur une reprise plus soutenue des activités ne permet pas de perspectives sereines. Le groupe s’adapte donc au “new normal”,et poursuit ses programmes de transformation digitale et de développement durable.