Dans une déclaration à Sunday Times, le député Bashir Jahangeer déplore que les travailleurs, en particulier les 68 mauriciens, auraient reçu une lettre ambiguë émanant de la direction. Celle-ci leur ferait croire qu’ils n’ont pas été licenciés et que l’usine ne fermerait pas ses portes, spécifiant qu’il n’y ait pas eu de ‘termination of contract’. Mais en même temps, on les interdirait de se rendre à l’usine et ils n’ont pas reçu leurs salaires du mois de juin. De plus, les directeurs auraient lancé des appels d’offres pour vendre les machines et les équipements.
Le député Bashir Jahangeer compte ainsi demander au ministre du Travail, Soodesh Callychurn, s’il interviendra pour rassurer les travailleurs. Il trouve inadmissible qu’une usine qui a opéré pendant plus de 40 ans n’ait fait aucune prévision pour une assurance ou une compensation en faveur de ses en cas de fermeture.
