Alexandre Thiboudois et Franck B’almeida Buton forment un duo de choc

Les Globos

Deux cousins inséparables, Alexandre Thiboudois 35 ans, et Franck B’aleida Buton 36 ans, vouent la même passion pour l’art. Ce duo a créé son propre univers, Les Globos, à travers lequel, il fait rêver les gens. Qu’on les appelle artistes, sculpteurs, ballooneurs, musiciens, animateurs d’événement ou magiciens, une chose est claire. Ce sont des illusionnistes qui vous transporteront dans leur monde magique.

En vacances à Maurice, Alexandre profite du bon temps avec sa famille. Ce trentenaire est un Français dont le père est Mauricien. C’est pour souder davantage les liens familiaux avec ses proches mauriciens qu’il revient au pays presque chaque année. « Toutes mes racines sont ici ! » dit-il avec fierté. Entouré de ses cousins, Alexandre se met tantôt dans la peau d’un magicien qui manipule les cartes et tantôt dans celle d’un  guitariste. Mais ce qui impressionne ses proches le plus, ce sont les structures qu’il arrive à créer avec des ballons. Alexandre Thiboudois peut transformer votre imagination en réalité  avec l’aide de son cousin, Franck B’almeida Buton.

Alexandre et Franck ont démarré une aventure rocambolesque en 2010. Ils ont créé les Globos, deux personnages fictifs incarnés par les deux trentenaires dans un univers irréel. Les Globos ont donné diverses représentations dans l’hexagone, y compris devant l’ex-Président  français, François Hollande.

Il n’y a pas de limite pour les Globos. « Vous voulez qu’on vous reproduise la figure de votre super héro de taille humaine ? Nous sommes capables de créer des réplicats des îles, avec leurs cocotiers et pourquoi pas La Tour Eiffel. Tout est possible mais tout va dépendre de votre budget », dit-il. Les Globos cartonnent en France. On sollicite leur expertise en plusieurs occasions notamment pour les fêtes, les anniversaires, les mariages pour divertir le public. Alexandre et Franck ont conquis  les cœurs des Français grâce à leur créativité et aussi à leurs talents d’animateur et de magicien. Petits et grands, béants d’admiration, oublient leur quotidien.

Le journal Le Parisien a déjà consacré un article à Les Globos dans lequel leur art est mise en lumière